Arrivés à Santiago dans la matinée, nous sommes un peu déboussolés : cette grande métropole de plus de 7 millions d'habitants abrite plus du tiers de la population totale du Chili, et s'y repérer y est assez difficile. Surtout que nous n'y avons aucun point de chute. Un peu perdus au début, on finit par se trouver un endroit où loger pour pas trop cher, dans un quartier historique de la ville, peu à peu reconverti en quartier étudiant. Ici, les hôtels particuliers de la haute société chilienne du 19ème siècle côtoient les universités et autres centres culturels, les places et les parcs sont envahis par les étudiants à l'heure du déjeuner et l'ambiance y est plutôt détendue.
Installés nous aussi dans une ancienne bâtisse reconvertie en auberge de jeunesse, nous parcourons les rues du "Barrio Brasil" et du centre de la capitale chilienne au gré de nos envies. Nous prenons quelques journées tranquilles pour découvrir et apprécier la qualité de vie des chiliens dont nous n'avions eu qu'un léger aperçu pour l'instant, trop occupés à s'envoyer en l'air à Iquique.
Bien qu'il s'agisse de la septième ville d'Amérique du Sud, on s'y sent plutôt bien. C'est une ville où il fait bon vivre, le climat est agréable et les gens sympathiques. Située sur une plaine coincée entre la Cordillère des Andes et la Cordillère côtière, la ville profite d'un climat méditerranéen assez sec.
Nous retrouvons enfin un peu de végétation même s'il ne s'agit pour l'instant que de petits arbustes ras, souvent épineux, mais nous sommes quand même bien contents de sortir de la morosité des paysages du désert. Nous profitons donc des chaudes journées de l'été indien pour découvrir le centre ville de Santiago, et on s'y sentirait presque chez nous. On retrouve un style architectural proche de celui des grandes villes européennes, mélangeant les vieux quartiers du 19ème et les avenues commerçantes plus modernes. Le style de vie est lui aussi très proche du notre, tant au niveau gastronomique que culturel. Les cultures amérindiennes ancestrales n'ayant pas survécues au melting pot chilien, l'identité culturelle du pays est jeune et se veut proche de celles des pays occidentaux.
Mais après quelques jours de repos et de promenades en ville, on commence vite à tourner en rond. Nous rencontrons François, un contact recommandé par Manu, avec qui nous souhaitons partir en vol-rando dans les alentours. On se retrouve donc tous les trois sur une terrasse ensoleillée pour partager un repas et discuter des possibilités de vols. Bien que le climat soit plaisant, c'est déjà l'automne au Chili et cela complique un peu les choses pour voler dans la cordillère. Nous prenons tout de même rendez-vous pour une petite rando d'1h30 au-dessus de la ville. Au déco, malgré que la ville soit cachée par une épaisse brume, les conditions aérologiques sont calmes et nous permettent de profiter d'un joli vol tranquille et de redescendre à la voiture sans effort.
Pour la première fois depuis le début de notre périple, nous volons en compagnie d'autres français, tous deux propriétaires de voiles Kaïlash de Nervures, marque de parapente pyrénéenne. D'après nos compagnons, jamais autant de Nervures n'ont volé en même temps dans le ciel chilien !
Bien qu'il s'agisse de la septième ville d'Amérique du Sud, on s'y sent plutôt bien. C'est une ville où il fait bon vivre, le climat est agréable et les gens sympathiques. Située sur une plaine coincée entre la Cordillère des Andes et la Cordillère côtière, la ville profite d'un climat méditerranéen assez sec.
Mais après quelques jours de repos et de promenades en ville, on commence vite à tourner en rond. Nous rencontrons François, un contact recommandé par Manu, avec qui nous souhaitons partir en vol-rando dans les alentours. On se retrouve donc tous les trois sur une terrasse ensoleillée pour partager un repas et discuter des possibilités de vols. Bien que le climat soit plaisant, c'est déjà l'automne au Chili et cela complique un peu les choses pour voler dans la cordillère. Nous prenons tout de même rendez-vous pour une petite rando d'1h30 au-dessus de la ville. Au déco, malgré que la ville soit cachée par une épaisse brume, les conditions aérologiques sont calmes et nous permettent de profiter d'un joli vol tranquille et de redescendre à la voiture sans effort.

En principe, au moins quatre autres Nervures seront dans le ciel Chilien l'hiver prochain.
RépondreSupprimerIquique, bien sûr, mais aussi un ou deux volcans, et d'autres sites, Suis preneur de tout conseil, topos, indications, proposition pour préparer ce trip.
Bonne route et bon vols à vous deux, keep safe.
Pierre
Pas de soucis, mais envoie nous plutôt un mail à parandinisme@gmail.com, ça sera plus simple !
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