Sopó, primer vuelo en "el paraiso"

Réveillés par le soleil dans nos hamacs à Gachancipá, le temps est superbe. L'envie de voler monte, d'autant que nous nous situons sur la même ligne de crête que le décollage de Sopó, à une dizaine de kilomètres à vol d'oiseau. Après un bon repas cuisiné au feu de bois, nous redescendons de chez Pedro à pied pour attraper un bus jusqu'à Sopó.
Nous revoilà au même décollage qu'il y a un mois, mais cette fois-ci équipés des parachutes de secours Xtralite que nous a envoyé Sup'Air. Nous observons les pilotes locaux décoller car les conditions au déco ne sont pas encore très stables, puis nous préparons à notre tour. Tandis qu'Aurélie prend son temps et assiste à un beau branchage, Mathieu décolle et se fait rapidement catapulter à quelques centaines de mètres au-dessus du déco, qui se trouve déjà à plus de 3000 mètres d'altitude, grâce à un puissant dynamique.
Les conditions sont douces et permettent de profiter du paysage, de Sesquile jusqu'au Taj Mahal du parc d'attractions Jaime Duque de Briceño.


On finit le vol ensemble, mais on se trouve trop bas pour aller se poser sur le même terrain que les autres pilotes. On se pose alors sur le plus proche des attéros officiels, on ne peut donc pas profiter du transport collectif pour remonter.

C'est donc quasiment 10 kilomètres de marche qui nous attendent avant de retomber sur une route importante, d'où l'on attrapera un bus qui nous ramènera à Bogotá.

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Nos despertamos con el sol en las hamacas en Gachancipá, el clima es delicioso. Las ganas de volar crecen, más aun porque nos situamos sobre la misma línea de cresta que el despegue de Sopó, a unos 10 kilómetros a vuelo de pájaro. Después de una buena comida cocinada en el fuego, bajamos de la casa de Pedro a pie para coger un autobús hacia Sopó.
Estamos de vuelta en el mismo despegue que hace un mes, pero esta vez equipados de los paracaídas de reserva Xtralite que nos envió Sup' Air. Observamos los pilotos locales despegar porque las condiciones en el despegue no son todavía muy estables, luego nos alistamos. Mientras que Aurélie toma su tiempo, Mathieu despega y se hace rápidamente catapultar a algunas centenas de metros por encima del despegue, el que ya se encuentra a más de 3000 metros de altitud, gracias al poderoso dinámico.
Las condiciones son suaves y permiten disfrutar del paisaje, de Sesquile hasta el Taj Mahal del parque de diversiones Jaime Duque de Briceño.
Terminamos el vuelo juntos, pero nos encontramos demasiado bajos para ir a aterrizar en el mismo terreno que los demas pilotos. Aterrizamos entonces en el más cercano de los aterizaderos oficiales, pero entonces no pudimos disfrutar del transporte colectivo para volver a subir.
Son casi 10 kilómetros de caminata que nos esperan entonces antes de llegar a una carretera importante, de donde cogeremos un bus que nos llevará de vuelta a Bogotá.